Partagez cet article
Découvrez d'autres articles
Plafonnement, encadrement et complément de loyer
🏠 Les propriétaires ne sont jamais vraiment libres de fixer le loyer comme ils l’entendent.
Diverses règles relatives au plafonnement, à l’encadrement et au complément de loyers viennent encadrer cette fixation pour que le marché locatif reste toujours le plus accessible possible.
Lorsqu’un contrat de bail est signé, celui-ci peut prévoir ou non une clause de révision 📈📉
Si une clause de révision existe, le bailleur peut réviser une fois par an le loyer en suivant l’augmentation de l’indice de révision des loyers (IRL).
Cet indice est publié chaque trimestre sur le site du service public chaque trimestre et est révisé en fonction de l’évolution des “prix à la consommation” des 12 derniers mois (c’est-à-dire les prix pratiqués pour les biens et services consommés par les ménages exceptés le tabac et justement les loyers).
Chaque année donc, le bailleur est en droit d’augmenter le loyer en réalisant le calcul suivant :
(Loyer actuel hors charges X IRL du trimestre prévu dans le bail) / IRL du même trimestre mais de l’année précédente
Exemple : Loyer actuel hors charges : 745€ IRL prévu (celui à la date de révision prévue) : 1er trimestre de 2023 = 138,61 IRL de l’année précédente : 1er trimestre de 2022 = 133,93 (745 x 138,61) / 133,93 = 771€
➡️ Il est possible d’augmenter le loyer mensuel à 771€ !
|
⚠️ Précisons cependant que tous les baux conclus ou renouvelés qui portent sur des biens classés F ou G au DPE depuis le 24 août 2022 ne peuvent connaître de révision par rapport aux loyers anciennement pratiqués !
Le plafonnement des loyers
Mais lorsque nous sommes en période d’inflation, les prix à la consommation augmentent considérablement, et donc l’ILC aussi ! Pour éviter que le marché locatif devienne inaccessible, un mécanisme de “bouclier des loyers” a été mis en place : le plafonnement des loyers.
Pour toutes les révisions faites depuis octobre 2022, la hausse de l’ILC d’une année à une autre est plafonnée à 3,5% (2,5% en Outre Mer et 2% en Corse).
Ce mécanisme originellement en place jusqu’à avril 2023 vient d’être repoussé jusqu’à avril 2024 !
L’encadrement des loyers
Cependant dans certaines communes, la fixation du loyer devient encore plus compliquée en raison de certaines règles qui s’ajoutent. Il s’agit de zones dites tendues.
📊 Une zone tendue est une zone géographique dans laquelle il existe un déséquilibre significatif entre l’offre et la demande (demande de logement élevée par rapport à l’offre, ce qui conduit à fixer des loyers élevés). Dans ces zones listées sur le site du gouvernement, est mis en place un mécanisme d’encadrement des loyers.
Celui-ci se manifeste de 2 façons différentes :
1️⃣ Premièrement, des règles s’appliquent dans l’ensemble des communes situées en zone tendue.
Lors de la première mise en location d’un bien OU lorsque le bien est reloué plus de 18 mois après le dernier locataire : le bailleur fixe librement le montant du loyer. S’il existe une clause de révision dans le bail, il peut être révisé une fois par an en suivant l’ILC lui-même plafonné aujourd’hui à 3,5% comme vu précédemment.
Lorsque le bien est reloué moins de 18 mois après le dernier locataire : le bailleur doit appliquer le loyer anciennement pratiqué au dernier locataire.
Toutefois il existe des cas dans lesquels il est possible d’augmenter ce loyer :
➖ Si au cours des 12 derniers mois aucune révision n’a été réalisée, il est possible de le réviser en suivant l’IRL.
➖ Si le propriétaire a réalisé des travaux il y a moins de 6 mois et que le loyer n’avait pas été augmenté, dans ce cas le loyer peut :
- Soit être fixé librement si le coût des travaux est égal ou supérieur à la dernière année de loyers pratiqués
- Soit être révisé si le coût des travaux est égal ou supérieur à la moitié de l’année de loyers pratiqués. Cette augmentation peut être de 15% du coût des travaux TTC et ce sur le loyer annuel !
➖ Si le loyer est sous-évalué par rapport à ceux pratiqués dans le voisinage, il est possible de l’augmenter de maximum 50% de la différence entre le loyer moyen pratiqué dans le voisinage et le dernier loyer appliqué au locataire.
💡Notons que s’il est sous-évalué et qu’il n’a pas été révisé dans les 12 derniers mois il peut être révisé et s’il reste sous-évalué, il peut connaître ensuite cette augmentation.
Lorsqu’un bail en cours fait l’objet d’un renouvellement : le bailleur peut augmenter le loyer que s’il est sous-évalué ou que des travaux d’amélioration ou de mise en conformité ont été réalisés comme vu précédemment (augmentation limitée aux sommes vues).
✉️ L’augmentation doit être proposée par lettre recommandée avec accusé de réception au moins six mois avant la fin du bail.
2️⃣ Deuxièmement, dans certaines communes, d’autres règles s’appliquent en plus :
Les communes concernées étant les suivantes : Paris, Lille, Hellemmes, Lomme, Plaine commune (Aubervilliers, La Courneuve, Épinay-sur-Seine, L’Île-Saint-Denis, Pierrefitte-sur-Seine, Saint-Denis, Saint-Ouen-sur-Seine, Stains, Villetaneuse), Lyon et Villeurbanne, Est Ensemble (Bagnolet, Bobigny, Bondy, Le Pré Saint-Gervais, Les Lilas, Montreuil, Noisy-le-Sec, Pantin, Romainville), Montpellier (depuis le 1er juillet 2022) et Bordeaux (depuis le 15 juillet 2022). |
💵 Chaque année, un arrêté vient fixer un loyer de référence exprimé par m2 de surface habitable, pour une même catégorie de logements et pour un secteur géographique.
Celui-ci est calculé en fonction des loyers pratiqués pour des biens comparables (nombre de pièces et année de construction) dans des zones similaires.
Par exemple : Lyon et Villeurbanne sont divisés en 4 zones : en zone 1, un T2 non meublé construit après 1990 a pour loyer de référence 16,2€ par m2.
L’arrêté fixe également un loyer de référence majoré qui représente 20% de plus que le loyer de référence et un loyer de référence minoré qui lui représente 30% de moins.
🔍 Le mécanisme repose sur le fait qu’aucun bailleur en pratique ne peut fixer un loyer supérieur au loyer de référence majoré.
Les règles applicables dans toutes les zones tendues doivent donc être mises en place et à cela s’ajoute, dans les villes énoncées, que le bailleur doit être plafonné au loyer de référence majoré.
👩🏻⚖️ Dans le cas où le bailleur propose un loyer supérieur, le locataire peut intenter une action en diminution en saisissant la commission départementale de conciliation si celui-ci ne coopère pas.
Le complément de loyer
La dernière règle à connaître est celle du complément de loyer. Lorsqu’un bien comporte des caractéristiques de localisation ou de confort le justifiant, le bailleur peut réclamer un supplément par rapport au loyer de base (par exemple une vue sur un monument historique).
Le bail comme les annonces immobilières en amont doivent contenir le montant du complément de loyer et les motifs le justifiant.
Dans les communes dans lesquelles un loyer de référence est fixé, le complément ne peut être appliqué qu’à un loyer qui est égal à ce loyer de référence majoré. Autrement dit, il faut que le loyer soit déjà maximal et pour que le complément se justifie.
Retrouvez plus d’articles sur l’immobilier juridique :
- Vente en copropriété : répartition des charges et travaux
- Comment changer la destination d’un bien immobilier ?
- Vices cachés lors d’une vente : Qui est responsable ?
Partagez cet article
Découvrez d'autres articles
Plafonnement, encadrement et complément de loyer
🏠 Les propriétaires ne sont jamais vraiment libres de fixer le loyer comme ils l’entendent.
Diverses règles relatives au plafonnement, à l’encadrement et au complément de loyers viennent encadrer cette fixation pour que le marché locatif reste toujours le plus accessible possible.
Lorsqu’un contrat de bail est signé, celui-ci peut prévoir ou non une clause de révision 📈📉
Si une clause de révision existe, le bailleur peut réviser une fois par an le loyer en suivant l’augmentation de l’indice de révision des loyers (IRL).
Cet indice est publié chaque trimestre sur le site du service public chaque trimestre et est révisé en fonction de l’évolution des “prix à la consommation” des 12 derniers mois (c’est-à-dire les prix pratiqués pour les biens et services consommés par les ménages exceptés le tabac et justement les loyers).
Chaque année donc, le bailleur est en droit d’augmenter le loyer en réalisant le calcul suivant :
(Loyer actuel hors charges X IRL du trimestre prévu dans le bail) / IRL du même trimestre mais de l’année précédente
Exemple : Loyer actuel hors charges : 745€ IRL prévu (celui à la date de révision prévue) : 1er trimestre de 2023 = 138,61 IRL de l’année précédente : 1er trimestre de 2022 = 133,93 (745 x 138,61) / 133,93 = 771€
➡️ Il est possible d’augmenter le loyer mensuel à 771€ !
|
⚠️ Précisons cependant que tous les baux conclus ou renouvelés qui portent sur des biens classés F ou G au DPE depuis le 24 août 2022 ne peuvent connaître de révision par rapport aux loyers anciennement pratiqués !
Le plafonnement des loyers
Mais lorsque nous sommes en période d’inflation, les prix à la consommation augmentent considérablement, et donc l’ILC aussi ! Pour éviter que le marché locatif devienne inaccessible, un mécanisme de “bouclier des loyers” a été mis en place : le plafonnement des loyers.
Pour toutes les révisions faites depuis octobre 2022, la hausse de l’ILC d’une année à une autre est plafonnée à 3,5% (2,5% en Outre Mer et 2% en Corse).
Ce mécanisme originellement en place jusqu’à avril 2023 vient d’être repoussé jusqu’à avril 2024 !
L’encadrement des loyers
Cependant dans certaines communes, la fixation du loyer devient encore plus compliquée en raison de certaines règles qui s’ajoutent. Il s’agit de zones dites tendues.
📊 Une zone tendue est une zone géographique dans laquelle il existe un déséquilibre significatif entre l’offre et la demande (demande de logement élevée par rapport à l’offre, ce qui conduit à fixer des loyers élevés). Dans ces zones listées sur le site du gouvernement, est mis en place un mécanisme d’encadrement des loyers.
Celui-ci se manifeste de 2 façons différentes :
1️⃣ Premièrement, des règles s’appliquent dans l’ensemble des communes situées en zone tendue.
Lors de la première mise en location d’un bien OU lorsque le bien est reloué plus de 18 mois après le dernier locataire : le bailleur fixe librement le montant du loyer. S’il existe une clause de révision dans le bail, il peut être révisé une fois par an en suivant l’ILC lui-même plafonné aujourd’hui à 3,5% comme vu précédemment.
Lorsque le bien est reloué moins de 18 mois après le dernier locataire : le bailleur doit appliquer le loyer anciennement pratiqué au dernier locataire.
Toutefois il existe des cas dans lesquels il est possible d’augmenter ce loyer :
➖ Si au cours des 12 derniers mois aucune révision n’a été réalisée, il est possible de le réviser en suivant l’IRL.
➖ Si le propriétaire a réalisé des travaux il y a moins de 6 mois et que le loyer n’avait pas été augmenté, dans ce cas le loyer peut :
- Soit être fixé librement si le coût des travaux est égal ou supérieur à la dernière année de loyers pratiqués
- Soit être révisé si le coût des travaux est égal ou supérieur à la moitié de l’année de loyers pratiqués. Cette augmentation peut être de 15% du coût des travaux TTC et ce sur le loyer annuel !
➖ Si le loyer est sous-évalué par rapport à ceux pratiqués dans le voisinage, il est possible de l’augmenter de maximum 50% de la différence entre le loyer moyen pratiqué dans le voisinage et le dernier loyer appliqué au locataire.
💡Notons que s’il est sous-évalué et qu’il n’a pas été révisé dans les 12 derniers mois il peut être révisé et s’il reste sous-évalué, il peut connaître ensuite cette augmentation.
Lorsqu’un bail en cours fait l’objet d’un renouvellement : le bailleur peut augmenter le loyer que s’il est sous-évalué ou que des travaux d’amélioration ou de mise en conformité ont été réalisés comme vu précédemment (augmentation limitée aux sommes vues).
✉️ L’augmentation doit être proposée par lettre recommandée avec accusé de réception au moins six mois avant la fin du bail.
2️⃣ Deuxièmement, dans certaines communes, d’autres règles s’appliquent en plus :
Les communes concernées étant les suivantes : Paris, Lille, Hellemmes, Lomme, Plaine commune (Aubervilliers, La Courneuve, Épinay-sur-Seine, L’Île-Saint-Denis, Pierrefitte-sur-Seine, Saint-Denis, Saint-Ouen-sur-Seine, Stains, Villetaneuse), Lyon et Villeurbanne, Est Ensemble (Bagnolet, Bobigny, Bondy, Le Pré Saint-Gervais, Les Lilas, Montreuil, Noisy-le-Sec, Pantin, Romainville), Montpellier (depuis le 1er juillet 2022) et Bordeaux (depuis le 15 juillet 2022). |
💵 Chaque année, un arrêté vient fixer un loyer de référence exprimé par m2 de surface habitable, pour une même catégorie de logements et pour un secteur géographique.
Celui-ci est calculé en fonction des loyers pratiqués pour des biens comparables (nombre de pièces et année de construction) dans des zones similaires.
Par exemple : Lyon et Villeurbanne sont divisés en 4 zones : en zone 1, un T2 non meublé construit après 1990 a pour loyer de référence 16,2€ par m2.
L’arrêté fixe également un loyer de référence majoré qui représente 20% de plus que le loyer de référence et un loyer de référence minoré qui lui représente 30% de moins.
🔍 Le mécanisme repose sur le fait qu’aucun bailleur en pratique ne peut fixer un loyer supérieur au loyer de référence majoré.
Les règles applicables dans toutes les zones tendues doivent donc être mises en place et à cela s’ajoute, dans les villes énoncées, que le bailleur doit être plafonné au loyer de référence majoré.
👩🏻⚖️ Dans le cas où le bailleur propose un loyer supérieur, le locataire peut intenter une action en diminution en saisissant la commission départementale de conciliation si celui-ci ne coopère pas.
Le complément de loyer
La dernière règle à connaître est celle du complément de loyer. Lorsqu’un bien comporte des caractéristiques de localisation ou de confort le justifiant, le bailleur peut réclamer un supplément par rapport au loyer de base (par exemple une vue sur un monument historique).
Le bail comme les annonces immobilières en amont doivent contenir le montant du complément de loyer et les motifs le justifiant.
Dans les communes dans lesquelles un loyer de référence est fixé, le complément ne peut être appliqué qu’à un loyer qui est égal à ce loyer de référence majoré. Autrement dit, il faut que le loyer soit déjà maximal et pour que le complément se justifie.
Retrouvez plus d’articles sur l’immobilier juridique :
- Vente en copropriété : répartition des charges et travaux
- Comment changer la destination d’un bien immobilier ?
- Vices cachés lors d’une vente : Qui est responsable ?
Ces articles aussi pourraient vous intéresser
31 juillet 2023
Vente en copropriété : répartition des charges et travaux
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
3 juillet 2023
Comment changer la destination d’un bien immobilier ?
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
26 mai 2023
Vices cachés lors d’une vente : Qui est responsable ?
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
7 avril 2023
Plus value immobilière : impot et exonération
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
30 mars 2023
Quel droit de préemption pour le locataire ?
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
15 mars 2023
Un nouveau diagnostic obligatoire : l’audit énergétique
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
3 mars 2023
Loi ALUR : Quels documents transmettre au nouvel acquéreur ?
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
9 février 2023
Mandataires immobiliers : comment se démarquer en 2023 ?
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
12 janvier 2023
La vente d’une maison avec travaux
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
2 janvier 2023
Quelles solutions pour un acquéreur en instance de divorce ?
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
22 décembre 2022
Le DIP – Document d’information précontractuel
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
21 décembre 2022
DPE : Quelles sont les nouveautés 2023 à retenir ?
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
17 novembre 2022
Quels sont les documents nécessaires pour vous assurer de la solvabilité de votre acquéreur ?
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
28 octobre 2022
Prise de mandat : les 5 meilleures astuces
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
26 septembre 2022
3 informations essentielles pour votre annonce de vente de bien en ligne
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
28 juin 2022
Comment se débloquer du temps pour faire plus de terrain grâce à l’interconnexion SweepBright / MyNotary ?
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
10 décembre 2021
Réforme du cautionnement : Les conséquences pratiques pour l’agent immobilier à compter du 1er janvier 2022
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
19 octobre 2021
Registre des mandats et signature électronique
Chez MyNotary, nous voulons que chaque contrat immobilier devienne simple et sécurisé. Pour cela, nous analysons, décortiquons et confrontons les…
19 janvier 2021
L’expérience client dans le logement social par Romain Stern, Directeur de l’accession chez Immobilière3F
Guillaume, diplômé Notaire et Responsable Juridique chez MyNotary, vous conseille sur les bonnes pratiques à suivre dans le cadre de la vente d’un…
25 juillet 2020
Livre blanc n°2 : La prise de mandat
Dans ce livre blanc nous détaillons les règles générales en matière de succession pour vous permettre de mieux appréhender le sujet.
25 juin 2020
Livre Blanc n°1 : Les bons réflexes pour vendre un bien immobilier provenant d’une succession
Dans ce livre blanc nous détaillons les règles générales en matière de succession pour vous permettre de mieux appréhender le sujet.
10 juin 2020
Les bons réflexes pour vendre un bien immobilier provenant d’une succession
Guillaume, diplômé Notaire et Responsable Juridique chez MyNotary, vous conseille sur les bonnes pratiques à suivre dans le cadre de la vente d’un…
28 mai 2020
Les dessous du partenariat entre Capifrance — Optimhome & MyNotary 🎉
Il y a quelques jours, nous avons fièrement annoncé notre partenariat avec Capifrance et Optimhome, deux réseaux de conseillers immobiliers…
6 mai 2020
La vision de Jean-Marie Florent — Directeur d’Immo Réseau
Guillaume, diplômé Notaire et Responsable Juridique chez MyNotary, vous conseille sur les bonnes pratiques à suivre dans le cadre de la vente d’un…
16 avril 2020
L’ordonnance rectificative du 15 Avril 2020
Guillaume, notre Responsable Juridique, diplômé notaire, a synthétisé tout ce que vous deviez savoir sur l’ordonnance rectificative publiée ce matin…
14 avril 2020
Étape 5 : La signature de l’acte de vente
Le transfert de propriété entre le vendeur et l’acquéreur.
14 avril 2020
Étape 4 : Le financement
L’obtention d’un crédit par le client pour fiancer l’acquisition de son bien.
14 avril 2020
Étape 3 : La signature du compromis
Le compromis est le moment où l’acquéreur et le vendeur contractualisent leurs volontés de se transférer la propriété d’un bien et en définissent les…
14 avril 2020
Étape 2 : L’offre
L’étape qui permet de trouver un acquéreur qui souhaite acquérir le bien. Cette étape se matérialise par la signature d’une lettre d’intention…
14 avril 2020
Étape 1 : Le mandat
L’étape à laquelle un vendeur confie la vente de son bien immobilier à un professionnel. Cette étape se matérialise juridiquement par la signature…
14 avril 2020
La transaction immobilière : Une grande famille réunie autour d’un parcours unique
Parce que la transaction immobilière doit s’envisager avec une vision globale, nous avons retracé chaque étape d’un parcours de transaction en vous…
9 avril 2020
La procédure de signature du nouvel acte authentique électronique à distance
Guillaume, notre Responsable Juridique diplômé Notaire, détaille les différentes étapes permettant de signer un acte authentique électronique à…
2 avril 2020
L’instruction des dossiers de vente et la signature des actes pendant l’état d’urgence sanitaire
Guillaume, diplômé Notaire et Responsable Juridique chez MyNotary, fait un tour d’horizon sur les blocages et les solutions existantes pour faire…
23 mars 2020
Les précautions à prendre pour la rédaction des nouveaux compromis de vente
Guillaume, notre Responsable Juridique, diplômé notaire, aborde aujourd’hui les différentes précautions à prendre pour la rédaction et la signature…
19 mars 2020
Gérer vos biens sous compromis en période de ralentissement
Guillaume, notre Responsable Juridique, diplômé notaire fait le point sur la situation actuelle et vous donne ses conseils pour gérer au mieux les…
11 avril 2019
Vente d’un lot en copropriété : la répartition des charges et travaux
Il existe deux grands types de frais dans une copropriété
27 mars 2019
Les 3 choses à lire en priorité dans un PV d’AG des copropriétaires
Que vous soyez copropriétaire n’ayant pu être présent lors de l’assemblée générale, ou futur acquéreur au sein de la copropriété, une lecture…
13 mars 2019
Acquisition immobilière en SCI : bonne ou mauvaise idée ?
Lors d’une acquisition immobilière, on entend souvent que l’on conseille à l’acquéreur de constituer une Société Civile Immobilière. Pourtant, la…
25 février 2019
Qu’est-ce qu’un congé pour vendre ?
Il est très fréquent de voir un bien loué mis en vente. Si ce n’est jamais un problème pour concrétiser la vente au travers d’un congé pour vendre,…
11 février 2019
Comprendre et lire un état hypothécaire
Si l’état hypothécaire n’est pas obligatoire pour la rédaction d’un compromis de vente, reste qu’il contient des éléments essentiels, notamment en…